Sunday, November 11, 2012

Bilan du cours PPA6001

Nous sommes arrivées presqu’à la fin de notre travail sur le blogue. Malgré le fait que ce billet est le dernier dans le cadre de nos travaux hebdomadaires, j’espère ne pas terminer l’interaction établie avec les collègues à partir de cet outil. En ce qui concerne le bilan du cours de PPA 6001, j’aimerais vous exprimer mon avis sous forme des avantages et les inconvénients de ce cours.

Les avantages :
- Entant qu’une nouvelle étudiante à l’université, ce cours m’a permit d’établir de bonne relation avec certains collègues. A partir de ce cours j’ai réussi de partager mes avis avec les autres et me renseigner sur leur façon de pensée. En plus à travers les travaux des ateliers j’ai réussi à collaborer en équipe avec mes collègues et à apprendre des nouvelles choses de leurs parts.

- En même temps ce cours m’a fait apprendre la gestion du temps et d’énergie. Au début j’avais mis beaucoup de temps pour réaliser les travaux mais après certains temps je me suis habituée et j’ai appris comment je peux diriger mes travaux. En réalité ce cours m’a obligé de trouver les stratégies pour faire les travaux.

- De plus l’utilisation de la technologie dans ce cours m’a donné beaucoup d’idées pour mon futur travail. J’ai pris connaissance de l’utilisation de certains outils et logiciels et leur place dans l’enseignement.

- Le travail hebdomadaire sur les billets ainsi les travaux des ateliers m’a amené à trouver des stratégies efficaces pour être autonome.

- En général je peux dire que ce cours m’a beaucoup aidé à m’adapter dans la nouvelle société, dans mes études et développer mon réseau social.

Les inconvénients :

Concernant les inconvénients je dois avouer que parfois quand je voulais rédiger mon billet sur un sujet, je n’étais pas sûre de ce que j’avais fait. Donc j’étais obligée d’attendre de voir les autres billets pour être sûre de l’exactitude de mon travail. C’est évident qu’il y a plusieurs manières d’interprétation sur un sujet, mais puisque je me trouve dans un environnement artificiel je doutais toujours sur la bonne performance de mes travaux. Je pense que manque de relation de type visuelle ou peut être une sorte d’émotion sur ce qu’on fait ensemble dans ce cours m’a mis dans cette situation de difficulté.

le cadre des inconvénients je voudrais ainsi dire que malheureusement pendant ce cours je n’ai reçu que deux commentaires. J’ai reçu un commentaire de la part de Simon au début du cours et un autre de la part de notre professeur. Ce sujet m’a un peu découragé parce qu’en effet je pense que mes billets ne sont pas assez intéressants pour attirer l’attention des autres ou peut être puisque je suis nouvelle ici personne ne voulait cliquer sur mon nom qui est assez long sur la liste des blogues des pairs.

J’aimerais dire que la première cours de maîtrise dans ce trimestre m’a montré une perspective de ce que je vais rencontrer pendant les trimestres suivants. Je voudrais, pour terminer, souhaiter pleine réussite à vos travaux.

Tuesday, October 23, 2012

Eportfolio de Josiane jean,

Avant tout j’aimerais dire que le contenu de votre eportfolio est très professionnel et vous avez bien décrit le contenue de chaque section.

En ce qui concerne la partie de biographie, je crois que vous vous êtes bien présenté. Ainsi vous avez bien souligné les deux côtés ; professionnel et personnel de ta vie, ce que je trouve intéressant.

Concernant la structure de votre eportfolio je pense que vous avez bien respecté la consigne proposée par M.Viens, mais juste il y a quelques points à modifier. Je pense que vous les avez aussi remarqués. Par exemple la section de PPA6001 n’est pas encore complétée et la dernière section de compétence à développer n’est pas vraiment nécessaire à ajouter. A mon avis vous avez une fois décrit toutes les compétences relatives à chaque cours et ça ne veut la peine de les répéter pour la deuxième fois.
Une fois que les changements seront faits, ton travail sera excellent.

En général je trouve votre eportfolie très bien rédigé mais je vous propose de réduire un peu les descriptions (par exemple dans les parties des objectifs) afin de susciter l’intérêt des interlocuteurs pour continuer à lire.

Monday, October 15, 2012

Les cartes conceptuelles :

Franchement c’est la première fois que j’ai entendu le terme des CARTES CONCEPTUELLES. A la suite de lecture des explications ainsi le modèle de la carte produite par André Laflamme avec le logiciel CMAP présenté dans la consigne j’ai compris ce que veut dire la carte conceptuelle. Pour approfondir mes connaissances je suis allée un peu plus loin et j’ai lu quelques explications en rapport de notre sujet. En effet je dois avouer que la première fois quand j’ai lu le terme CARTE CONCEPTUELLE tout de suite j’imaginé le flowcharte mais je n’avais aucune idée si c’était vraiment la même chose ou non. A cet effet je vous résume le résultat de mes lectures et ce que je pense à-propos des cartes conceptuelles comme ci dessus :

Les cartes conceptuelles sont appelées aussi comme la représentation graphique, flow charting, concept mapping, réseau sémantique et l’organisateur graphique. L’utilisation générale des cartes conceptuelles est dans le but de faire comprendre des concepts ou des informations difficiles. En effet cette manière de représentation permet aux individus de structurer d’un concept tel qu’il est compris. En plus c’est une méthode plus visuelle et compréhensible pour transférer les explications et les connaissances d’une façon plus organisée et plus simple. C’est pour cette raison que les cartes conceptuelles sont considérées comme une sorte de stratégie dans le processus d’apprentissage. Bref, quand nous ne sommes pas capables de transférer nos connaissances ou les informations à partir de langage écrit ou oral, les cartes conceptuelles sont les meilleurs choix.

Mais est-ce que les cartes conceptuelles sont bénéfiques dans l’enseignement ? ou autrement dit quelle est la place de ces cartes conceptuelles dans le processus d’apprentissage ? Tout au long du processus de l’apprentissage, les apprenants appliquent certaines stratégies d’autorégulation pour maîtriser et comprendre les informations telles qu’il faut. Pour autoréguler le processus d’apprentissage les apprenants doivent passer 3 étapes : la planification des stratégies cognitives, contrôle le progrès et l’ajustement aux exigences demandées et à la fin ils doivent autoréguler leur processus. L’un des moyens pour développer les stratégies cognitives est l’utilisation de certaine démarche comme les cartes conceptuelles. L’utilisation des cartes conceptuelles dans l’apprentissage permet aux élèves de verbaliser leur pensée ou par exemple ce qu’ils ont compris de la lecture d’un texte.

Peut-être un exemple de la lecture d’un texte nous permet de bien saisir l’utilisation des cartes conceptuelles. Pour comprendre les informations données dans un texte, l’enseignant peut demander aux élèves de lire les paragraphes, prendre les mots clés et établir des liens entre eux en allant des idées les plus importantes jusqu’aux idées les moins importantes et à la fin présenter les liens sous forme visuelle à l’aide d’un organisateur graphique ou les cartes conceptuelles.

Cette démarche est un exemplaire très simple de l’utilisation des cartes conceptuelles qui aide les élèves à verbaliser, structurer, dessiner ce qu’ils comprennent du texte. En effet à partir de ce modèle l’enseignant aura l’occasion de montrer à ses élèves comment ils peuvent contrôler et ajuster leur processus d’apprentissage à chaque étape de leur vie scolaire ou même personnel.

A la fin j’aimerais dire que les caractéristiques graphiques visuelles et la structure organisée des cartes conceptuelles sont très bénéfiques pour faire comprendre les concepts difficiles aux élèves. En même temps, l’enseignant et les élèves peuvent bénéficier de cette méthode dans leur démarche d’apprentissage. Mais est-ce que cette méthode est vraiment populaire ? Est-ce que les enseignants doivent acquérir ou développer leur connaissance pour créer des cartes conceptuelles ? C’est clair que la création de ces cartes a besoin d’une certaine capacité et ce n’est pas toujours facile à faire. Peut-être à cause de cette raison que je n’ai jamais expérimenté cette stratégie dans ma vie scolaire.

Source :
- http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/staf17/0102/ress/doc/p1_fad/cc.pdf

-Cartier, S.C(2007). Apprendre en lisant au primaire et au secondaire : Mieux comprendre et mieux intervenir(p.135-147). Montréal : les éditions CEC.

Sunday, October 7, 2012

Comment vous sentez-vous face à la formule du cours PPA6001 et la réalisation de vos travaux ? Comment gérez-vous les potentialités, contraintes et exigences du cours PPA6001 ?

En ce qui concerne la formule du cours PPA6001, j’aimerais vous expliquer mon point de vue en trois critères qui suivent une logique d’enchaînement. A mon avis ces trois critères sont les caractéristiques principales de ce cours. Je les ai repérés à partir de la question demandée comme ci-dessous pour définir ce que je trouve dans le cours PPA6001:

1- Intégration des technologies et les ateliers
2- Liberté et l’autonomie offertes pour réaliser les travaux
3- La gestion du temps

Généralement je pense que tous les critères nommés sont enchaînés d'une manière plus ou moins étroite dans le cours PPA6001. Quand nous parlons de l’intégration des technologies la première chose qui apparaît dans mon imagination est l’autonomie et la liberté, mais comment ? Tout simplement quand nous utilisions un logiciel, internet ou dans le contexte plus général la technologie dans ce cours, nous profitions de la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite, sa propre loi. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Autonomie)
Nous sommes sensés de réaliser nos travaux avec nos propres méthodes de gestion et peu importe la manière de l’utilisation de la technologie mais l’objectif final est de produire des énoncés et réaliser les devoirs. Donc ce cours nous permet de devenir plus autonomes et développer nos compétences au niveau de la gestion. L’un des éléments qui rend les apprenants plus autonomes est la gestion du temps donc nous voyons que tous ces critères ont une relation directe entre eux. L’idée de mettre en pratique l’utilisation de la technologie dans ce cours devient plus en plus significative pour moi quand je pense à ces critères.

1-Intégration des technologies et les ateliers :
Aujourd’hui la communication via internet d’un côté et l’utilisation de la technologie de l’autre côté sont devenus plus en plus habituels autant dans la vie personnel que la vie professionnel. Avec le développement sans cesse des outils de la technologie, ce phénomène est plus évident dans le contexte d’apprentissage. Personnellement je tiens à cette idée que le cours PPA6001 possède une vision logique dans sa démarche pédagogique basée sur l’intégration des outils de la formation à distance. En effet j’ai un avis très positif à cet égard, parce que les méthodes traditionnelles ont donné leur place de temps en temps aux approches communicatives dont la base est l’échange des informations. Je trouve que ce cours présente bien l’aspect pratique de l’utilisation de la technologie soit à partir de Weblogue ou par les ateliers animés dans cet objectif.

2- Liberté et l’autonomie offertes pour réaliser les travaux :
Je crois que tout au long de ce cours nous pratiquons le développement de notre autonomie. Cette pratique soit consciemment ou inconsciemment nous permet de planifier un programme hebdomadaire pour publier les billets ou pour réaliser les travaux des ateliers. Pour moi le cours PPA6001 est une sorte d’apprentissage autorégulé parce que c’est à nous de trouver et créer les techniques et les stratégies nécessaires pour répondre aux attentes exigés (par exemple dans la publication des billets et le travail final de la rédaction). De l’autre côté la liberté des choix des ateliers nous permet d’investir nos temps et nos énergies dans le domaine que nous désirons ou sur les aspects dans lesquels nous sommes moins compétents. Donc avec la liberté et l’autonomie que j’ai dans ce cours je suis plus motivée mais j’ai besoin plus de temps pour planifier et produire par rapport des autres cours.

3- La gestion du temps :
Toutes les explications données ci-dessous, nous amènent à la fin à cette question : comment je dois gérer mon temps pour répondre à tous les besoins demandés ? Je pense qu’avec ce cours nous apprenons d’une manière pratique la notion de la gestion d’un projet et non seulement du temps. C’est vrai que le temps nécessaire pour réaliser les travaux demandés dans ce cours est beaucoup plus que j’imaginais donc pour résoudre ce problème je dois bien gérer mes tâches pour que je puisse finaliser mes devoirs. Pour atteindre cet objectif d’abord je planifie ensuite je suis les démarchés définies et j’invente des stratégies pour produire ce que je désire. Ce processus me rappelle la notion de la gestion d’un projet. Dans le premier regarde je n’étais pas capables de repérer cet aspect mais au fur et à mesure je l’ai senti à partir des travaux demandés.

En général je pense que l’existence de cours PPA6001 dans un programme de maîtrise est inévitable. Ce n’est pas par hasard que je tiens à cette idée, mais parce que tout au long de mon programme de maîtrise en Iran j’ai constaté que non seulement moi mais aussi les autres étudiants avons eu besoin de certains compétences pour effectuer nos recherches et rédiger nos mémoires de maîtrise. Ces compétences ne développent qu’à partir d’un cours comme PPA6001.

Tuesday, September 25, 2012

Bonjour à tous,
Voici le lien du magazine LCF (Langue et Culture Française) qui vient de faire sortir son premier numéro gratuit sur le net :
http://lcf-magazine.fr/
C'est le premier magazine FLE destiné aux apprenants de la langue française! Le prochain paraîtra début novembre pour devenir mensuel et pouvoir ainsi s'exporter à travers le monde!
Grâce à vos visites (et votre inscription sur le site), les statistiques aideront à développer et à améliorer le magazine!
Bonne lecture et surtout : FAITES TOURNER dans vos réseaux APPRENANTS (et enseignants qui ont des apprenants qui ont des enseignants qui ont des...)

Quels sont les différents aspects de votre vie personnelle et professionnelle qui influenceront la réalisation de votre projet de formation ? Avez-vous pensé à un logiciel particulier ? Des exemples ?

En ce qui concerne le réseau de contexte, je dois dire que les constituants de mon réseau sont divisés en 3 parties selon l’ordre chronologique des événements produits pendant 6 mois de mon séjour au Canada ainsi mes expériences et connaissances antérieurs (en Iran). Je les ai classifiés en 3 facteurs d’influence associés à mon projet de ma formation en orthopédagogie comme ci-dessous :
1) Expérience professionnelle en Iran et au Québec,
2) Etudes universitaires en Iran, en France et la formation AEP au Québec (Organisée par la commission scolaire de Point de l’île pour devenir éducatrice en milieu scolaire)
3) Stage dans une école primaire pour devenir éducatrice.
Mon projet d’immigration est en lien étroite avec mon projet de formation. Je pense que les facteurs qui influenceront mon projet sont les mêmes événements qui m’ont conduit dans mon chemin d’immigration. Comme un destin déjà défini, une chaîne d’événement m’a guidé dans la réalisation de mes projets. Je me sens comme une personne née encore une fois dans un autre monde mais cette fois elle continuera sa vie à partir du point de rupture.
1) Facteur d’expérience :
La première partie s’agit de mes expériences professionnelles que j’ai déjà vécues en Iran entant qu’enseignante de la langue française et le travail dans un centre aide aux devoirs à Montréal. Je ne souligne pas beaucoup mes expériences antérieures parce que ça prend beaucoup du temps à expliquer. C’est l’histoire de 10 ans d’études et d’expérience en rapport de la langue et culture française. Mais bref dans un mot, c’est grâce aux mes études, mes expériences, mes professeurs et mes collègues que je me trouve maintenant à cet étape et je sais que tous ces expériences et ces connaissances me serviront dans mon projet de formation en orthopédagogie. En fait, les premiers contacts avec mes collègues, ma directrice et surtout les enfants dans le centre aide aux devoirs (à Montréal) m’ont orienté vers ce choix pour devenir orthopédagogue. Les enfants de différentes nationalités immigrantes qui sont venus pour renforcer leur niveau du français étaient les premières sources d’aspiration de cette carrière. En effet, j’ai toujours l’intention d’aider les gens soit dans les écoles ou dans les centres de réadaptation ou les organismes communautaires.
2) Facteur d’études :
La deuxième partie y compris mes études et mes connaissances antérieures ainsi la première formation effectuée au Québec. Après 2 mois de mon arrivée au Québec je me suis rendu compte des différentes formations organisées par les commissions scolaires à Montréal. A la suite des recherches, j’ai trouvé une formation qui pour la première fois était disponible pour toute la population (pas seulement pour les personnels déjà engagés). Je m’y suis inscrite et j’ai suivi les cours pendant l’été à temps plein. C’était dans cette formation que j’ai entendu pour la première fois les expressions de difficulté d’apprentissage et de difficulté d’adaptation. Au fur et à mesure j’ai compris les concepts au point de vue scientifique et statistique. A partir de cette formation j’ai senti un profond désir pour élargir et développer mes connaissances dans ce domaine, et voilà pourquoi je me trouve ici dans ce programme. A l’aide des connaissances et des informations acquises au cours de cette formation je suis capable de comprendre le système d’éducation et les notions en rapport des différents problèmes des élèves dans le système. En plus le réseau des amis et des collègues que j’ai construit à partir de cette formation aura surement une influence positive dans mon projet de maîtrise.
3) Facteur stage dans le milieu scolaire :
Après la fin de la partie théorique de la formation AEP, les étudiants étaient supposés aller passer un stage dans une école primaire pour acquérir les compétences nécessaires afin de bien s’intégrer dans le marché de travail. Pendant ce stage qui n’est pas encore terminé, je vois tous ce que j’ai appris théoriquement tout au long de la formation. Tout ce qui est en rapport des élèves, leurs comportements, les attitudes, les attentes des enseignantes et des éducatrices, et en général la vie scolaire au Québec. J’ai vraiment beaucoup d’enthousiasme à découvrir le milieu scolaire au Québec et je pense que ce stage comme un point de départ me donnera la première perspective de ma vie professionnelle à l’avenir.
En ce qui concerne le logiciel présentatif de mon projet, je n’ai pas encore fixé ma décision. J’ai pensé à deux logiciels mais je ne sais pas si je les ai bien choisi ou non. Je pense qu’il faut me renseigner sur ce sujet pour que je puisse présenter mes objectifs de façon adéquate et aisément compréhensible.

Sunday, September 16, 2012

Quels ont été les moments et les événements marquants qui m’ont guidés vers le choix de m’inscrire à la maîtrise ? A quel degré je désire développer cette ligne du temps et comment je pourrai la présenter visuellement pour qu’elle s’intègre dans mon travail écrit?

En ce qui concerne le choix de l’option d’orthopédagogie, je dois avouer que l’idée de s’inscrire dans un programme de maîtrise est parvenue après mon arrivée au canada. En effet j’avais envie de continuer mes études au niveau de doctorat puisque j’ai déjà un diplôme de maîtrise de mon pays. Mais une petite histoire a changé ma décision vers ce choix dont je suis satisfait dans mon cœur mais pas très sûre au niveau de marché de travail puisque je n’ai pas de brevet d’enseigner au Québec. J’ai toujours eu une imagination d’un métier comme un orthopédagogue qui n’existait pas dans mon pays et je ne savais pas comment s’appelle ou si jamais ce métier existe quelque part dans le monde. Après être arrivée au Québec, j’ai trouvé un travail dans un centre d’aide aux devoirs, en effet mes fonctions étaient un peu différentes de ce qu’on imagine d’une monitrice d’aide aux devoirs. J’ai commencé à enseigner le français aux petits enfants de différentes nationalités dont leurs parents n’ont pas eu assez de connaissance sur cette langue. Au fur et à mesure j’ai constaté que parmi ces enfants, il y en a une qui est différente, elle n’était pas capable de distinguer les phrases, les sons et les syllabes. A l’aide de quelques exercices que j’ai trouvé sur l’internet ainsi les conseilles de ma directrice (qui a beaucoup d’expériences dans le domaine d’enseignement) j’ai réussi à améliorer le niveau de cet enfant. En plus je me sentais très satisfaite de résultat de mon travail de 6 mois quand sa mère m’a dit avec les yeux pleins de larmes que l’enseignante de sa fille avait dit qu’elle pourrait passer à la deuxième année puisqu’elle avait beaucoup progressé. Un jour cette petite fille est venue et elle m’a dit : “ tu sais, quand je serai grande je veux devenir quelqu’un comme toi”, cette phrase m’a beaucoup bouleversée mais en effet m’a beaucoup aidé à choisir mon domaine. Après avoir bien réfléchi j’ai compris que cette petite m’avait tellement facilité la prise de la décision que je ne veux plus la changer. Oui, c’est vrai je veux devenir quelqu’un qui peut aider les enfants de toutes les nationalités qui ont des difficultés à apprendre pourque tout le monde puisse avoir l’opportunité d’aimer l’apprentissage et de se développer au niveau plus élevé dans la vie. Concernant le développement de ce sujet dans mon travail écrit je ne suis pas encore sûre parce que je suis toujours entrain de chercher et lire des textes et des articles dans ce domaine pour approfondir mes connaissances au niveau de différents théories, démarches et les concepts d’élèves à risque en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Mais j’ai l’intention de présenter un travail basé sur les explications scientifiques et à la fois les faits et les expériences réels que j’ai déjà vécu soit dans la vie personnelle ou dans ma vie professionnelle.

Saturday, September 8, 2012

Quels sont les freins qui vous semblent les plus importants ? Quelles solutions pourriez-vous mettre en place pour ?

J’imagine deux problèmes concernant l’utilisation de blog dans les activités pédagogiques pour les élèves au primaire ainsi en secondaire. Le premier est au niveau technique, et autonomie dans l’utilisation de l’informatique. Autrement dit, la connaissance suffisante ou demandée de l’utilisation de la technologie (Ordinateur, les logiciels, l’internet, etc.) parmi les élèves de l’école primaire. Deuxièmement le problème de copier, coller dans les devoirs, les projets et en général dans les productions des élèves qui peut arriver même parmi les élèves en secondaire. Dans le premier cas, pour que tout le monde possède la connaissance suffisante pour faire les activités, il vaut mieux d’évaluer leurs connaissances a partir de quelques exercices simples et pratiques. Ensuite selon le résultat obtenu nous pouvons organiser des cours supplémentaires (si ça sera possible selon le programme de l’école) ou consacrer deux ou trois séances en informatique pour enrichir les connaissances des élèves. Pour le deuxième problème, tout d’abord l’enseignant peut expliquer aux élèves les conséquences de cet acte (copier-coller) et clarifier pour eux s’ils n’arrivent pas à faire un exercice il vaut mieux d’aller le voir et expliquer le problème.

Pouvez-vous imaginer une activité dans votre classe qui intégrerait un usage pédagogique du blog ? Décrivez cette activité et ce que vous en attendriez.

J’ai déjà profité de l’utilisation de weblog dans mes cours de FLE en Iran parmi les apprenants de 10 à 16 ans et les adultes. La manière de l’utilisation était un peu différente mais c’était efficace. Je leur ai demandé de consulter mon Weblog afin de faire les exercices en ligne. A chaque fois que j’enseignais une règle grammaticale ou des vocabulaires, ils faisaient les exercices relatifs à l’aide des liens qui se trouvaient sur mon blog. Je les avais classifiés selon différents titres comme Grammaire, vocabulaire,… et je leur demandais de les pratiquer chez eux. Mais aujourd’hui grâce au développement de différents outils et plateformes éducatifs dans le domaine de l’enseignement nous pouvons utiliser le weblog sous forme d’un moyen pour présenter les devoirs et les pointe de vue, etc. Par exemple j’imagine que je peux demander aux élèves (de 3ième ou 4ième cycle) de faire un résumé soit du dernier livre qu’ils ont lu ou du dernier film qu’ils ont déjà vu. Ensuite chacun doit lire au moins un résumé parmi les billets produits sur les blogs des camarades pour en discuter pour la prochaine séance dans la classe. De cette façon nous travaillons sur trois compétences, une fois sur la production écrite après sur la compréhension écrite et par la suite sur la production orale des apprenants.

Quelles sont, selon vous, les potentialités et contraintes d’efficacité de blog dans le cours PPA6001 ? et dans vos activités d’enseignement ou d’orthopédagogie est-ce identique ?

Aujourd’hui avec la progression de la technologie, les méthodes traditionnelles ont perdu leur place même dans la vie quotidienne des gens. Les cahiers et les journaux intimes ont été remplacés par les blogues et d’autres utiles de Web. Il faut remarquer que l’utilisation de blog dans les cours est l’une des nouvelles méthodes qui a été remplacée celles des anciennes. Donc l’utilisation de cet utile dans notre cours nous permet de partager, suivre et mettre les informations à l’accès de tout le monde dans un délai de temps très court et à la fois pratique. A partir de blog les étudiants ont la possibilité de communiquer entre eux, proposer des suggestions et d’exprimer leurs points de vue à tout moment. Parmi les points de vue nous trouvons des idées qui nous semblent originales, intéressantes ou peut-être la réponse d’un problème dans notre vie professionnelle. En plus, ce blog est toujours accessible ; même après la fin des études, les futurs orthopédagogues auront la possibilité de consulter les blogs des collègues et de garder toujours les mêmes relations pour échanger leurs avis lors de la vie professionnelle.

Comment vous sentez-vous face à la production hebdomadaire exigée dans le blog? 1 billet et 1 commentaire.

En ce qui concerne le travail hebdomadaire sur le blog, je dois dire que je le trouve assez intéressant. Personnellement c’est la première fois que je vois cet aspect de l’utilisation de weblog en enseignement ce qui me permet de verbaliser mes pensées et de les décrire pour plusieurs interlocuteurs. En même temps quand j’écris mes points de vue je me mets à la place des autres personnes qui veulent faire des commentaires et j’essaie de les rédiger d’une façon cohérente et compréhensible. De l’autre coté, quand je veux donner un commentaire j’essaie de lire le plus que possible ; tous les avis, les différentes façons de penser et d’imaginer la situation afin de proposer un commentaire constructif. En général je le trouve comme un moyen qui nous permet d’établir des relations interactives.

Wednesday, August 29, 2012

Des objectifs personnels-professionnels :

Des objectifs personnels-professionnels ou compétences spécifiques que je vise par ce programme : J’étais enseignante de la langue française dans un pays dont les caractères alphabétiques de la langue maternelle sont tout à fait différents de la langue française et ainsi cette langue n’est enseignée que dans les institutions de langues ou à l’université (pour les étudiants en littérature ou en traduction). En considérant toutes les différences entre ces deux langues (persan et français) j’aimerais bien trouver une solution afin de faciliter l’apprentissage de la langue française pour les enfants et les immigrants iraniens qui habitent au canada. Ou peut-être il vaut mieux de reformuler mon objectif de cette façon : trouver des moyens à remédier les difficultés de l’apprentissage de la langue française pour les immigrants iraniens. En plus je voudrais augmenter le niveau de mes connaissances concernat le système de l’éducation au canada .

Une question inspirée des problèmes et défis actuels

Une question inspirée des problèmes et défis actuels et à laquelle j’aimerais trouver réponse : Pour garder le même niveau de la motivation des apprenants d’une langue étrangère, l’enseignant doit d’abord connaître les capacités et les besoins de chaque élève. Ensuite selon leurs besoins et leurs capacités, elle/il peut envisager les moyens appropriés afin de provoquer ou au moins garder le même niveau de la motivation du premier jour. A cet effet je voudrais savoir comment un enseignant peut accumuler et considérer tous ces différents besoins et capacités afin de trouver un moyen efficace pour chacun de ses élèves ?

Tuesday, August 28, 2012

Le défis le plus significatif dans ma pratique professionnelle

Dans ma pratique professionnelle actuel, quel est le défis le plus significatif que je rencontre? Le défi le plus significatif que j’ai déjà rencontré pendant 5 ans d’expériences en enseignement de la langue française en Iran(en tant qu’une langue étrangère) est le manque de motivation. J’ai déjà rencontré beaucoup d’élèves qui sont vraiment démotivés à cause de la variété des règles de la langue française. Ils les trouvent très difficiles en comparant avec leur langue maternelle et aussi l’anglais. Au début de chaque année, nous avons beaucoup d’élève qui sont motivés pour apprendre cette langue mais au fur et à mesure le nombre des élèves diminue pendant chaque trimestre.

Les problèmes importants

Deux problemes importants que j'ai observé au fil de ma carrière d'enseignant ou de formateur: Avant tout, j’aimerais bien donner une petite explication sur mon expérience professionnelle. J’étais enseignante de la langue française, en tant qu’une langue étrangère, en Iran. J’ai appris cette langue à l’université et je l’ai enseignée pendant 5 ans en Iran dans les institutions de langue et les écoles privées. Notre langue maternelle est persane et la majorité des gens en Iran apprennent l’anglais pendant leurs études. J’ai enseigné cette langue aux adultes, qui ont eu l’intention d’immigrer au canada ou en France afin de continuer leurs études. Tout au long de ma carrière d’enseignant j’ai rencontré les différents problèmes mais personnellement le problème le plus essentiel était le manque de la motivation parmi les élèves de 10 à 16 ans. Vu que cette langue est hors de leur programme scolaire, après certains temps ils décident de ne pas participer ou de choisir l’anglais à la place.