Sunday, November 11, 2012

Bilan du cours PPA6001

Nous sommes arrivées presqu’à la fin de notre travail sur le blogue. Malgré le fait que ce billet est le dernier dans le cadre de nos travaux hebdomadaires, j’espère ne pas terminer l’interaction établie avec les collègues à partir de cet outil. En ce qui concerne le bilan du cours de PPA 6001, j’aimerais vous exprimer mon avis sous forme des avantages et les inconvénients de ce cours.

Les avantages :
- Entant qu’une nouvelle étudiante à l’université, ce cours m’a permit d’établir de bonne relation avec certains collègues. A partir de ce cours j’ai réussi de partager mes avis avec les autres et me renseigner sur leur façon de pensée. En plus à travers les travaux des ateliers j’ai réussi à collaborer en équipe avec mes collègues et à apprendre des nouvelles choses de leurs parts.

- En même temps ce cours m’a fait apprendre la gestion du temps et d’énergie. Au début j’avais mis beaucoup de temps pour réaliser les travaux mais après certains temps je me suis habituée et j’ai appris comment je peux diriger mes travaux. En réalité ce cours m’a obligé de trouver les stratégies pour faire les travaux.

- De plus l’utilisation de la technologie dans ce cours m’a donné beaucoup d’idées pour mon futur travail. J’ai pris connaissance de l’utilisation de certains outils et logiciels et leur place dans l’enseignement.

- Le travail hebdomadaire sur les billets ainsi les travaux des ateliers m’a amené à trouver des stratégies efficaces pour être autonome.

- En général je peux dire que ce cours m’a beaucoup aidé à m’adapter dans la nouvelle société, dans mes études et développer mon réseau social.

Les inconvénients :

Concernant les inconvénients je dois avouer que parfois quand je voulais rédiger mon billet sur un sujet, je n’étais pas sûre de ce que j’avais fait. Donc j’étais obligée d’attendre de voir les autres billets pour être sûre de l’exactitude de mon travail. C’est évident qu’il y a plusieurs manières d’interprétation sur un sujet, mais puisque je me trouve dans un environnement artificiel je doutais toujours sur la bonne performance de mes travaux. Je pense que manque de relation de type visuelle ou peut être une sorte d’émotion sur ce qu’on fait ensemble dans ce cours m’a mis dans cette situation de difficulté.

le cadre des inconvénients je voudrais ainsi dire que malheureusement pendant ce cours je n’ai reçu que deux commentaires. J’ai reçu un commentaire de la part de Simon au début du cours et un autre de la part de notre professeur. Ce sujet m’a un peu découragé parce qu’en effet je pense que mes billets ne sont pas assez intéressants pour attirer l’attention des autres ou peut être puisque je suis nouvelle ici personne ne voulait cliquer sur mon nom qui est assez long sur la liste des blogues des pairs.

J’aimerais dire que la première cours de maîtrise dans ce trimestre m’a montré une perspective de ce que je vais rencontrer pendant les trimestres suivants. Je voudrais, pour terminer, souhaiter pleine réussite à vos travaux.

Tuesday, October 23, 2012

Eportfolio de Josiane jean,

Avant tout j’aimerais dire que le contenu de votre eportfolio est très professionnel et vous avez bien décrit le contenue de chaque section.

En ce qui concerne la partie de biographie, je crois que vous vous êtes bien présenté. Ainsi vous avez bien souligné les deux côtés ; professionnel et personnel de ta vie, ce que je trouve intéressant.

Concernant la structure de votre eportfolio je pense que vous avez bien respecté la consigne proposée par M.Viens, mais juste il y a quelques points à modifier. Je pense que vous les avez aussi remarqués. Par exemple la section de PPA6001 n’est pas encore complétée et la dernière section de compétence à développer n’est pas vraiment nécessaire à ajouter. A mon avis vous avez une fois décrit toutes les compétences relatives à chaque cours et ça ne veut la peine de les répéter pour la deuxième fois.
Une fois que les changements seront faits, ton travail sera excellent.

En général je trouve votre eportfolie très bien rédigé mais je vous propose de réduire un peu les descriptions (par exemple dans les parties des objectifs) afin de susciter l’intérêt des interlocuteurs pour continuer à lire.

Monday, October 15, 2012

Les cartes conceptuelles :

Franchement c’est la première fois que j’ai entendu le terme des CARTES CONCEPTUELLES. A la suite de lecture des explications ainsi le modèle de la carte produite par André Laflamme avec le logiciel CMAP présenté dans la consigne j’ai compris ce que veut dire la carte conceptuelle. Pour approfondir mes connaissances je suis allée un peu plus loin et j’ai lu quelques explications en rapport de notre sujet. En effet je dois avouer que la première fois quand j’ai lu le terme CARTE CONCEPTUELLE tout de suite j’imaginé le flowcharte mais je n’avais aucune idée si c’était vraiment la même chose ou non. A cet effet je vous résume le résultat de mes lectures et ce que je pense à-propos des cartes conceptuelles comme ci dessus :

Les cartes conceptuelles sont appelées aussi comme la représentation graphique, flow charting, concept mapping, réseau sémantique et l’organisateur graphique. L’utilisation générale des cartes conceptuelles est dans le but de faire comprendre des concepts ou des informations difficiles. En effet cette manière de représentation permet aux individus de structurer d’un concept tel qu’il est compris. En plus c’est une méthode plus visuelle et compréhensible pour transférer les explications et les connaissances d’une façon plus organisée et plus simple. C’est pour cette raison que les cartes conceptuelles sont considérées comme une sorte de stratégie dans le processus d’apprentissage. Bref, quand nous ne sommes pas capables de transférer nos connaissances ou les informations à partir de langage écrit ou oral, les cartes conceptuelles sont les meilleurs choix.

Mais est-ce que les cartes conceptuelles sont bénéfiques dans l’enseignement ? ou autrement dit quelle est la place de ces cartes conceptuelles dans le processus d’apprentissage ? Tout au long du processus de l’apprentissage, les apprenants appliquent certaines stratégies d’autorégulation pour maîtriser et comprendre les informations telles qu’il faut. Pour autoréguler le processus d’apprentissage les apprenants doivent passer 3 étapes : la planification des stratégies cognitives, contrôle le progrès et l’ajustement aux exigences demandées et à la fin ils doivent autoréguler leur processus. L’un des moyens pour développer les stratégies cognitives est l’utilisation de certaine démarche comme les cartes conceptuelles. L’utilisation des cartes conceptuelles dans l’apprentissage permet aux élèves de verbaliser leur pensée ou par exemple ce qu’ils ont compris de la lecture d’un texte.

Peut-être un exemple de la lecture d’un texte nous permet de bien saisir l’utilisation des cartes conceptuelles. Pour comprendre les informations données dans un texte, l’enseignant peut demander aux élèves de lire les paragraphes, prendre les mots clés et établir des liens entre eux en allant des idées les plus importantes jusqu’aux idées les moins importantes et à la fin présenter les liens sous forme visuelle à l’aide d’un organisateur graphique ou les cartes conceptuelles.

Cette démarche est un exemplaire très simple de l’utilisation des cartes conceptuelles qui aide les élèves à verbaliser, structurer, dessiner ce qu’ils comprennent du texte. En effet à partir de ce modèle l’enseignant aura l’occasion de montrer à ses élèves comment ils peuvent contrôler et ajuster leur processus d’apprentissage à chaque étape de leur vie scolaire ou même personnel.

A la fin j’aimerais dire que les caractéristiques graphiques visuelles et la structure organisée des cartes conceptuelles sont très bénéfiques pour faire comprendre les concepts difficiles aux élèves. En même temps, l’enseignant et les élèves peuvent bénéficier de cette méthode dans leur démarche d’apprentissage. Mais est-ce que cette méthode est vraiment populaire ? Est-ce que les enseignants doivent acquérir ou développer leur connaissance pour créer des cartes conceptuelles ? C’est clair que la création de ces cartes a besoin d’une certaine capacité et ce n’est pas toujours facile à faire. Peut-être à cause de cette raison que je n’ai jamais expérimenté cette stratégie dans ma vie scolaire.

Source :
- http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/staf17/0102/ress/doc/p1_fad/cc.pdf

-Cartier, S.C(2007). Apprendre en lisant au primaire et au secondaire : Mieux comprendre et mieux intervenir(p.135-147). Montréal : les éditions CEC.

Sunday, October 7, 2012

Comment vous sentez-vous face à la formule du cours PPA6001 et la réalisation de vos travaux ? Comment gérez-vous les potentialités, contraintes et exigences du cours PPA6001 ?

En ce qui concerne la formule du cours PPA6001, j’aimerais vous expliquer mon point de vue en trois critères qui suivent une logique d’enchaînement. A mon avis ces trois critères sont les caractéristiques principales de ce cours. Je les ai repérés à partir de la question demandée comme ci-dessous pour définir ce que je trouve dans le cours PPA6001:

1- Intégration des technologies et les ateliers
2- Liberté et l’autonomie offertes pour réaliser les travaux
3- La gestion du temps

Généralement je pense que tous les critères nommés sont enchaînés d'une manière plus ou moins étroite dans le cours PPA6001. Quand nous parlons de l’intégration des technologies la première chose qui apparaît dans mon imagination est l’autonomie et la liberté, mais comment ? Tout simplement quand nous utilisions un logiciel, internet ou dans le contexte plus général la technologie dans ce cours, nous profitions de la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite, sa propre loi. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Autonomie)
Nous sommes sensés de réaliser nos travaux avec nos propres méthodes de gestion et peu importe la manière de l’utilisation de la technologie mais l’objectif final est de produire des énoncés et réaliser les devoirs. Donc ce cours nous permet de devenir plus autonomes et développer nos compétences au niveau de la gestion. L’un des éléments qui rend les apprenants plus autonomes est la gestion du temps donc nous voyons que tous ces critères ont une relation directe entre eux. L’idée de mettre en pratique l’utilisation de la technologie dans ce cours devient plus en plus significative pour moi quand je pense à ces critères.

1-Intégration des technologies et les ateliers :
Aujourd’hui la communication via internet d’un côté et l’utilisation de la technologie de l’autre côté sont devenus plus en plus habituels autant dans la vie personnel que la vie professionnel. Avec le développement sans cesse des outils de la technologie, ce phénomène est plus évident dans le contexte d’apprentissage. Personnellement je tiens à cette idée que le cours PPA6001 possède une vision logique dans sa démarche pédagogique basée sur l’intégration des outils de la formation à distance. En effet j’ai un avis très positif à cet égard, parce que les méthodes traditionnelles ont donné leur place de temps en temps aux approches communicatives dont la base est l’échange des informations. Je trouve que ce cours présente bien l’aspect pratique de l’utilisation de la technologie soit à partir de Weblogue ou par les ateliers animés dans cet objectif.

2- Liberté et l’autonomie offertes pour réaliser les travaux :
Je crois que tout au long de ce cours nous pratiquons le développement de notre autonomie. Cette pratique soit consciemment ou inconsciemment nous permet de planifier un programme hebdomadaire pour publier les billets ou pour réaliser les travaux des ateliers. Pour moi le cours PPA6001 est une sorte d’apprentissage autorégulé parce que c’est à nous de trouver et créer les techniques et les stratégies nécessaires pour répondre aux attentes exigés (par exemple dans la publication des billets et le travail final de la rédaction). De l’autre côté la liberté des choix des ateliers nous permet d’investir nos temps et nos énergies dans le domaine que nous désirons ou sur les aspects dans lesquels nous sommes moins compétents. Donc avec la liberté et l’autonomie que j’ai dans ce cours je suis plus motivée mais j’ai besoin plus de temps pour planifier et produire par rapport des autres cours.

3- La gestion du temps :
Toutes les explications données ci-dessous, nous amènent à la fin à cette question : comment je dois gérer mon temps pour répondre à tous les besoins demandés ? Je pense qu’avec ce cours nous apprenons d’une manière pratique la notion de la gestion d’un projet et non seulement du temps. C’est vrai que le temps nécessaire pour réaliser les travaux demandés dans ce cours est beaucoup plus que j’imaginais donc pour résoudre ce problème je dois bien gérer mes tâches pour que je puisse finaliser mes devoirs. Pour atteindre cet objectif d’abord je planifie ensuite je suis les démarchés définies et j’invente des stratégies pour produire ce que je désire. Ce processus me rappelle la notion de la gestion d’un projet. Dans le premier regarde je n’étais pas capables de repérer cet aspect mais au fur et à mesure je l’ai senti à partir des travaux demandés.

En général je pense que l’existence de cours PPA6001 dans un programme de maîtrise est inévitable. Ce n’est pas par hasard que je tiens à cette idée, mais parce que tout au long de mon programme de maîtrise en Iran j’ai constaté que non seulement moi mais aussi les autres étudiants avons eu besoin de certains compétences pour effectuer nos recherches et rédiger nos mémoires de maîtrise. Ces compétences ne développent qu’à partir d’un cours comme PPA6001.

Tuesday, September 25, 2012

Bonjour à tous,
Voici le lien du magazine LCF (Langue et Culture Française) qui vient de faire sortir son premier numéro gratuit sur le net :
http://lcf-magazine.fr/
C'est le premier magazine FLE destiné aux apprenants de la langue française! Le prochain paraîtra début novembre pour devenir mensuel et pouvoir ainsi s'exporter à travers le monde!
Grâce à vos visites (et votre inscription sur le site), les statistiques aideront à développer et à améliorer le magazine!
Bonne lecture et surtout : FAITES TOURNER dans vos réseaux APPRENANTS (et enseignants qui ont des apprenants qui ont des enseignants qui ont des...)

Quels sont les différents aspects de votre vie personnelle et professionnelle qui influenceront la réalisation de votre projet de formation ? Avez-vous pensé à un logiciel particulier ? Des exemples ?

En ce qui concerne le réseau de contexte, je dois dire que les constituants de mon réseau sont divisés en 3 parties selon l’ordre chronologique des événements produits pendant 6 mois de mon séjour au Canada ainsi mes expériences et connaissances antérieurs (en Iran). Je les ai classifiés en 3 facteurs d’influence associés à mon projet de ma formation en orthopédagogie comme ci-dessous :
1) Expérience professionnelle en Iran et au Québec,
2) Etudes universitaires en Iran, en France et la formation AEP au Québec (Organisée par la commission scolaire de Point de l’île pour devenir éducatrice en milieu scolaire)
3) Stage dans une école primaire pour devenir éducatrice.
Mon projet d’immigration est en lien étroite avec mon projet de formation. Je pense que les facteurs qui influenceront mon projet sont les mêmes événements qui m’ont conduit dans mon chemin d’immigration. Comme un destin déjà défini, une chaîne d’événement m’a guidé dans la réalisation de mes projets. Je me sens comme une personne née encore une fois dans un autre monde mais cette fois elle continuera sa vie à partir du point de rupture.
1) Facteur d’expérience :
La première partie s’agit de mes expériences professionnelles que j’ai déjà vécues en Iran entant qu’enseignante de la langue française et le travail dans un centre aide aux devoirs à Montréal. Je ne souligne pas beaucoup mes expériences antérieures parce que ça prend beaucoup du temps à expliquer. C’est l’histoire de 10 ans d’études et d’expérience en rapport de la langue et culture française. Mais bref dans un mot, c’est grâce aux mes études, mes expériences, mes professeurs et mes collègues que je me trouve maintenant à cet étape et je sais que tous ces expériences et ces connaissances me serviront dans mon projet de formation en orthopédagogie. En fait, les premiers contacts avec mes collègues, ma directrice et surtout les enfants dans le centre aide aux devoirs (à Montréal) m’ont orienté vers ce choix pour devenir orthopédagogue. Les enfants de différentes nationalités immigrantes qui sont venus pour renforcer leur niveau du français étaient les premières sources d’aspiration de cette carrière. En effet, j’ai toujours l’intention d’aider les gens soit dans les écoles ou dans les centres de réadaptation ou les organismes communautaires.
2) Facteur d’études :
La deuxième partie y compris mes études et mes connaissances antérieures ainsi la première formation effectuée au Québec. Après 2 mois de mon arrivée au Québec je me suis rendu compte des différentes formations organisées par les commissions scolaires à Montréal. A la suite des recherches, j’ai trouvé une formation qui pour la première fois était disponible pour toute la population (pas seulement pour les personnels déjà engagés). Je m’y suis inscrite et j’ai suivi les cours pendant l’été à temps plein. C’était dans cette formation que j’ai entendu pour la première fois les expressions de difficulté d’apprentissage et de difficulté d’adaptation. Au fur et à mesure j’ai compris les concepts au point de vue scientifique et statistique. A partir de cette formation j’ai senti un profond désir pour élargir et développer mes connaissances dans ce domaine, et voilà pourquoi je me trouve ici dans ce programme. A l’aide des connaissances et des informations acquises au cours de cette formation je suis capable de comprendre le système d’éducation et les notions en rapport des différents problèmes des élèves dans le système. En plus le réseau des amis et des collègues que j’ai construit à partir de cette formation aura surement une influence positive dans mon projet de maîtrise.
3) Facteur stage dans le milieu scolaire :
Après la fin de la partie théorique de la formation AEP, les étudiants étaient supposés aller passer un stage dans une école primaire pour acquérir les compétences nécessaires afin de bien s’intégrer dans le marché de travail. Pendant ce stage qui n’est pas encore terminé, je vois tous ce que j’ai appris théoriquement tout au long de la formation. Tout ce qui est en rapport des élèves, leurs comportements, les attitudes, les attentes des enseignantes et des éducatrices, et en général la vie scolaire au Québec. J’ai vraiment beaucoup d’enthousiasme à découvrir le milieu scolaire au Québec et je pense que ce stage comme un point de départ me donnera la première perspective de ma vie professionnelle à l’avenir.
En ce qui concerne le logiciel présentatif de mon projet, je n’ai pas encore fixé ma décision. J’ai pensé à deux logiciels mais je ne sais pas si je les ai bien choisi ou non. Je pense qu’il faut me renseigner sur ce sujet pour que je puisse présenter mes objectifs de façon adéquate et aisément compréhensible.

Sunday, September 16, 2012

Quels ont été les moments et les événements marquants qui m’ont guidés vers le choix de m’inscrire à la maîtrise ? A quel degré je désire développer cette ligne du temps et comment je pourrai la présenter visuellement pour qu’elle s’intègre dans mon travail écrit?

En ce qui concerne le choix de l’option d’orthopédagogie, je dois avouer que l’idée de s’inscrire dans un programme de maîtrise est parvenue après mon arrivée au canada. En effet j’avais envie de continuer mes études au niveau de doctorat puisque j’ai déjà un diplôme de maîtrise de mon pays. Mais une petite histoire a changé ma décision vers ce choix dont je suis satisfait dans mon cœur mais pas très sûre au niveau de marché de travail puisque je n’ai pas de brevet d’enseigner au Québec. J’ai toujours eu une imagination d’un métier comme un orthopédagogue qui n’existait pas dans mon pays et je ne savais pas comment s’appelle ou si jamais ce métier existe quelque part dans le monde. Après être arrivée au Québec, j’ai trouvé un travail dans un centre d’aide aux devoirs, en effet mes fonctions étaient un peu différentes de ce qu’on imagine d’une monitrice d’aide aux devoirs. J’ai commencé à enseigner le français aux petits enfants de différentes nationalités dont leurs parents n’ont pas eu assez de connaissance sur cette langue. Au fur et à mesure j’ai constaté que parmi ces enfants, il y en a une qui est différente, elle n’était pas capable de distinguer les phrases, les sons et les syllabes. A l’aide de quelques exercices que j’ai trouvé sur l’internet ainsi les conseilles de ma directrice (qui a beaucoup d’expériences dans le domaine d’enseignement) j’ai réussi à améliorer le niveau de cet enfant. En plus je me sentais très satisfaite de résultat de mon travail de 6 mois quand sa mère m’a dit avec les yeux pleins de larmes que l’enseignante de sa fille avait dit qu’elle pourrait passer à la deuxième année puisqu’elle avait beaucoup progressé. Un jour cette petite fille est venue et elle m’a dit : “ tu sais, quand je serai grande je veux devenir quelqu’un comme toi”, cette phrase m’a beaucoup bouleversée mais en effet m’a beaucoup aidé à choisir mon domaine. Après avoir bien réfléchi j’ai compris que cette petite m’avait tellement facilité la prise de la décision que je ne veux plus la changer. Oui, c’est vrai je veux devenir quelqu’un qui peut aider les enfants de toutes les nationalités qui ont des difficultés à apprendre pourque tout le monde puisse avoir l’opportunité d’aimer l’apprentissage et de se développer au niveau plus élevé dans la vie. Concernant le développement de ce sujet dans mon travail écrit je ne suis pas encore sûre parce que je suis toujours entrain de chercher et lire des textes et des articles dans ce domaine pour approfondir mes connaissances au niveau de différents théories, démarches et les concepts d’élèves à risque en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Mais j’ai l’intention de présenter un travail basé sur les explications scientifiques et à la fois les faits et les expériences réels que j’ai déjà vécu soit dans la vie personnelle ou dans ma vie professionnelle.