Tuesday, September 25, 2012

Bonjour à tous,
Voici le lien du magazine LCF (Langue et Culture Française) qui vient de faire sortir son premier numéro gratuit sur le net :
http://lcf-magazine.fr/
C'est le premier magazine FLE destiné aux apprenants de la langue française! Le prochain paraîtra début novembre pour devenir mensuel et pouvoir ainsi s'exporter à travers le monde!
Grâce à vos visites (et votre inscription sur le site), les statistiques aideront à développer et à améliorer le magazine!
Bonne lecture et surtout : FAITES TOURNER dans vos réseaux APPRENANTS (et enseignants qui ont des apprenants qui ont des enseignants qui ont des...)

Quels sont les différents aspects de votre vie personnelle et professionnelle qui influenceront la réalisation de votre projet de formation ? Avez-vous pensé à un logiciel particulier ? Des exemples ?

En ce qui concerne le réseau de contexte, je dois dire que les constituants de mon réseau sont divisés en 3 parties selon l’ordre chronologique des événements produits pendant 6 mois de mon séjour au Canada ainsi mes expériences et connaissances antérieurs (en Iran). Je les ai classifiés en 3 facteurs d’influence associés à mon projet de ma formation en orthopédagogie comme ci-dessous :
1) Expérience professionnelle en Iran et au Québec,
2) Etudes universitaires en Iran, en France et la formation AEP au Québec (Organisée par la commission scolaire de Point de l’île pour devenir éducatrice en milieu scolaire)
3) Stage dans une école primaire pour devenir éducatrice.
Mon projet d’immigration est en lien étroite avec mon projet de formation. Je pense que les facteurs qui influenceront mon projet sont les mêmes événements qui m’ont conduit dans mon chemin d’immigration. Comme un destin déjà défini, une chaîne d’événement m’a guidé dans la réalisation de mes projets. Je me sens comme une personne née encore une fois dans un autre monde mais cette fois elle continuera sa vie à partir du point de rupture.
1) Facteur d’expérience :
La première partie s’agit de mes expériences professionnelles que j’ai déjà vécues en Iran entant qu’enseignante de la langue française et le travail dans un centre aide aux devoirs à Montréal. Je ne souligne pas beaucoup mes expériences antérieures parce que ça prend beaucoup du temps à expliquer. C’est l’histoire de 10 ans d’études et d’expérience en rapport de la langue et culture française. Mais bref dans un mot, c’est grâce aux mes études, mes expériences, mes professeurs et mes collègues que je me trouve maintenant à cet étape et je sais que tous ces expériences et ces connaissances me serviront dans mon projet de formation en orthopédagogie. En fait, les premiers contacts avec mes collègues, ma directrice et surtout les enfants dans le centre aide aux devoirs (à Montréal) m’ont orienté vers ce choix pour devenir orthopédagogue. Les enfants de différentes nationalités immigrantes qui sont venus pour renforcer leur niveau du français étaient les premières sources d’aspiration de cette carrière. En effet, j’ai toujours l’intention d’aider les gens soit dans les écoles ou dans les centres de réadaptation ou les organismes communautaires.
2) Facteur d’études :
La deuxième partie y compris mes études et mes connaissances antérieures ainsi la première formation effectuée au Québec. Après 2 mois de mon arrivée au Québec je me suis rendu compte des différentes formations organisées par les commissions scolaires à Montréal. A la suite des recherches, j’ai trouvé une formation qui pour la première fois était disponible pour toute la population (pas seulement pour les personnels déjà engagés). Je m’y suis inscrite et j’ai suivi les cours pendant l’été à temps plein. C’était dans cette formation que j’ai entendu pour la première fois les expressions de difficulté d’apprentissage et de difficulté d’adaptation. Au fur et à mesure j’ai compris les concepts au point de vue scientifique et statistique. A partir de cette formation j’ai senti un profond désir pour élargir et développer mes connaissances dans ce domaine, et voilà pourquoi je me trouve ici dans ce programme. A l’aide des connaissances et des informations acquises au cours de cette formation je suis capable de comprendre le système d’éducation et les notions en rapport des différents problèmes des élèves dans le système. En plus le réseau des amis et des collègues que j’ai construit à partir de cette formation aura surement une influence positive dans mon projet de maîtrise.
3) Facteur stage dans le milieu scolaire :
Après la fin de la partie théorique de la formation AEP, les étudiants étaient supposés aller passer un stage dans une école primaire pour acquérir les compétences nécessaires afin de bien s’intégrer dans le marché de travail. Pendant ce stage qui n’est pas encore terminé, je vois tous ce que j’ai appris théoriquement tout au long de la formation. Tout ce qui est en rapport des élèves, leurs comportements, les attitudes, les attentes des enseignantes et des éducatrices, et en général la vie scolaire au Québec. J’ai vraiment beaucoup d’enthousiasme à découvrir le milieu scolaire au Québec et je pense que ce stage comme un point de départ me donnera la première perspective de ma vie professionnelle à l’avenir.
En ce qui concerne le logiciel présentatif de mon projet, je n’ai pas encore fixé ma décision. J’ai pensé à deux logiciels mais je ne sais pas si je les ai bien choisi ou non. Je pense qu’il faut me renseigner sur ce sujet pour que je puisse présenter mes objectifs de façon adéquate et aisément compréhensible.

Sunday, September 16, 2012

Quels ont été les moments et les événements marquants qui m’ont guidés vers le choix de m’inscrire à la maîtrise ? A quel degré je désire développer cette ligne du temps et comment je pourrai la présenter visuellement pour qu’elle s’intègre dans mon travail écrit?

En ce qui concerne le choix de l’option d’orthopédagogie, je dois avouer que l’idée de s’inscrire dans un programme de maîtrise est parvenue après mon arrivée au canada. En effet j’avais envie de continuer mes études au niveau de doctorat puisque j’ai déjà un diplôme de maîtrise de mon pays. Mais une petite histoire a changé ma décision vers ce choix dont je suis satisfait dans mon cœur mais pas très sûre au niveau de marché de travail puisque je n’ai pas de brevet d’enseigner au Québec. J’ai toujours eu une imagination d’un métier comme un orthopédagogue qui n’existait pas dans mon pays et je ne savais pas comment s’appelle ou si jamais ce métier existe quelque part dans le monde. Après être arrivée au Québec, j’ai trouvé un travail dans un centre d’aide aux devoirs, en effet mes fonctions étaient un peu différentes de ce qu’on imagine d’une monitrice d’aide aux devoirs. J’ai commencé à enseigner le français aux petits enfants de différentes nationalités dont leurs parents n’ont pas eu assez de connaissance sur cette langue. Au fur et à mesure j’ai constaté que parmi ces enfants, il y en a une qui est différente, elle n’était pas capable de distinguer les phrases, les sons et les syllabes. A l’aide de quelques exercices que j’ai trouvé sur l’internet ainsi les conseilles de ma directrice (qui a beaucoup d’expériences dans le domaine d’enseignement) j’ai réussi à améliorer le niveau de cet enfant. En plus je me sentais très satisfaite de résultat de mon travail de 6 mois quand sa mère m’a dit avec les yeux pleins de larmes que l’enseignante de sa fille avait dit qu’elle pourrait passer à la deuxième année puisqu’elle avait beaucoup progressé. Un jour cette petite fille est venue et elle m’a dit : “ tu sais, quand je serai grande je veux devenir quelqu’un comme toi”, cette phrase m’a beaucoup bouleversée mais en effet m’a beaucoup aidé à choisir mon domaine. Après avoir bien réfléchi j’ai compris que cette petite m’avait tellement facilité la prise de la décision que je ne veux plus la changer. Oui, c’est vrai je veux devenir quelqu’un qui peut aider les enfants de toutes les nationalités qui ont des difficultés à apprendre pourque tout le monde puisse avoir l’opportunité d’aimer l’apprentissage et de se développer au niveau plus élevé dans la vie. Concernant le développement de ce sujet dans mon travail écrit je ne suis pas encore sûre parce que je suis toujours entrain de chercher et lire des textes et des articles dans ce domaine pour approfondir mes connaissances au niveau de différents théories, démarches et les concepts d’élèves à risque en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Mais j’ai l’intention de présenter un travail basé sur les explications scientifiques et à la fois les faits et les expériences réels que j’ai déjà vécu soit dans la vie personnelle ou dans ma vie professionnelle.

Saturday, September 8, 2012

Quels sont les freins qui vous semblent les plus importants ? Quelles solutions pourriez-vous mettre en place pour ?

J’imagine deux problèmes concernant l’utilisation de blog dans les activités pédagogiques pour les élèves au primaire ainsi en secondaire. Le premier est au niveau technique, et autonomie dans l’utilisation de l’informatique. Autrement dit, la connaissance suffisante ou demandée de l’utilisation de la technologie (Ordinateur, les logiciels, l’internet, etc.) parmi les élèves de l’école primaire. Deuxièmement le problème de copier, coller dans les devoirs, les projets et en général dans les productions des élèves qui peut arriver même parmi les élèves en secondaire. Dans le premier cas, pour que tout le monde possède la connaissance suffisante pour faire les activités, il vaut mieux d’évaluer leurs connaissances a partir de quelques exercices simples et pratiques. Ensuite selon le résultat obtenu nous pouvons organiser des cours supplémentaires (si ça sera possible selon le programme de l’école) ou consacrer deux ou trois séances en informatique pour enrichir les connaissances des élèves. Pour le deuxième problème, tout d’abord l’enseignant peut expliquer aux élèves les conséquences de cet acte (copier-coller) et clarifier pour eux s’ils n’arrivent pas à faire un exercice il vaut mieux d’aller le voir et expliquer le problème.

Pouvez-vous imaginer une activité dans votre classe qui intégrerait un usage pédagogique du blog ? Décrivez cette activité et ce que vous en attendriez.

J’ai déjà profité de l’utilisation de weblog dans mes cours de FLE en Iran parmi les apprenants de 10 à 16 ans et les adultes. La manière de l’utilisation était un peu différente mais c’était efficace. Je leur ai demandé de consulter mon Weblog afin de faire les exercices en ligne. A chaque fois que j’enseignais une règle grammaticale ou des vocabulaires, ils faisaient les exercices relatifs à l’aide des liens qui se trouvaient sur mon blog. Je les avais classifiés selon différents titres comme Grammaire, vocabulaire,… et je leur demandais de les pratiquer chez eux. Mais aujourd’hui grâce au développement de différents outils et plateformes éducatifs dans le domaine de l’enseignement nous pouvons utiliser le weblog sous forme d’un moyen pour présenter les devoirs et les pointe de vue, etc. Par exemple j’imagine que je peux demander aux élèves (de 3ième ou 4ième cycle) de faire un résumé soit du dernier livre qu’ils ont lu ou du dernier film qu’ils ont déjà vu. Ensuite chacun doit lire au moins un résumé parmi les billets produits sur les blogs des camarades pour en discuter pour la prochaine séance dans la classe. De cette façon nous travaillons sur trois compétences, une fois sur la production écrite après sur la compréhension écrite et par la suite sur la production orale des apprenants.

Quelles sont, selon vous, les potentialités et contraintes d’efficacité de blog dans le cours PPA6001 ? et dans vos activités d’enseignement ou d’orthopédagogie est-ce identique ?

Aujourd’hui avec la progression de la technologie, les méthodes traditionnelles ont perdu leur place même dans la vie quotidienne des gens. Les cahiers et les journaux intimes ont été remplacés par les blogues et d’autres utiles de Web. Il faut remarquer que l’utilisation de blog dans les cours est l’une des nouvelles méthodes qui a été remplacée celles des anciennes. Donc l’utilisation de cet utile dans notre cours nous permet de partager, suivre et mettre les informations à l’accès de tout le monde dans un délai de temps très court et à la fois pratique. A partir de blog les étudiants ont la possibilité de communiquer entre eux, proposer des suggestions et d’exprimer leurs points de vue à tout moment. Parmi les points de vue nous trouvons des idées qui nous semblent originales, intéressantes ou peut-être la réponse d’un problème dans notre vie professionnelle. En plus, ce blog est toujours accessible ; même après la fin des études, les futurs orthopédagogues auront la possibilité de consulter les blogs des collègues et de garder toujours les mêmes relations pour échanger leurs avis lors de la vie professionnelle.

Comment vous sentez-vous face à la production hebdomadaire exigée dans le blog? 1 billet et 1 commentaire.

En ce qui concerne le travail hebdomadaire sur le blog, je dois dire que je le trouve assez intéressant. Personnellement c’est la première fois que je vois cet aspect de l’utilisation de weblog en enseignement ce qui me permet de verbaliser mes pensées et de les décrire pour plusieurs interlocuteurs. En même temps quand j’écris mes points de vue je me mets à la place des autres personnes qui veulent faire des commentaires et j’essaie de les rédiger d’une façon cohérente et compréhensible. De l’autre coté, quand je veux donner un commentaire j’essaie de lire le plus que possible ; tous les avis, les différentes façons de penser et d’imaginer la situation afin de proposer un commentaire constructif. En général je le trouve comme un moyen qui nous permet d’établir des relations interactives.